Quand la pression (de l’entourage, des proches, de l’activité professionnelle…) est forte, que l’on se sent assailli d’obligations, de responsabilités, il est bon de s’isoler, de faire le vide, de respirer profondément, de défocaliser son mental de ce qui nous obsède afin d’éviter que des idées noires viennent obscurcir la bonne humeur qui prévalait l’instant d’avant.
Quelques pistes à suivre :
– si le mal-être, la souffrance, le trouble de l’humeur sont tels qu’ils n’engagent pas à aller vers l’autre, se dire qu’on est en convalescence, qu’on a simplement besoin de faire silence, de se poser, de recharger ses batteries pour ensuite mieux repartir.
– savoir dire NON sans chercher à se justifier, sans blesser pour ne pas culpabiliser aussitôt après. Ex: « je te remercie pour ta proposition, je ne suis pas dispo, désolé, ce sera pour une autre fois« .
– écouter son besoin personnel de récupération, de bien-être et d’équilibre qui devient ainsi LA priorité pour ne pas sombrer et s’autosaboter.
– l’action est nécessaire : boire un verre d’eau en ressentant le parcours de l’eau dans le corps, chausser une paire de baskets pour se mettre en mouvement, marcher, courir, faire quelques exercices physiques en conscience, en étant présent à soi, en ressentant par exemple l’intégralité de votre pied épouser le sol.
S’isoler, faire le vide dans sa tête, est nécessaire pour laisser des idées neuves arriver.
Enfin, n’oublions pas d’aller vers les autres car le lien que nous avons avec les êtres humains est indispensable pour ajuster son attitude, réparer et guérir certaines de nos souffrances mentales.
Oui faire le vide et se remplir d’amour, car c’est la seule chose qui restera après nous !
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