Dans le livre d’Alfred et Bettina Austermann « Le syndrome du jumeau perdu » (Ed. Le Souffle d’Or, 2016), nous découvrons qu’une des sources possibles du mal-être prend origine dans le ventre de la mère, lors de la gestation.
Outre les critères génétiques et environnementaux analysés dans les formes de dépression, le fait d’avoir eu un ou des jumeaux qui n’ont pas survécu lors de l’accouchement, peut provoquer plus tard chez le survivant, une grande mélancolie, de la culpabilité (celle d’avoir survécu alors que la mort in utero nous a frôlés), un mal-être profond, un sentiment d’incompréhension, d’abandon et d’injustice.
Pourquoi suis-je toujours en vie ??!!
Avec à la clé, l’envie de rejoindre cet Être mort qui fait parti de nous.
Heureusement, des thérapies existent, axant leur travail sur la famille et surtout notre place dans cette famille (celle de l’enfant unique, ou de l’aîné, ou du cadet…selon que l’on est le seul survivant ou que la fratrie ne serait pas correctement « positionnée ») et peuvent s’avérer utiles pour mettre de la lumière sur certaines de nos croyances et mémoires.
>> Au sein d’AOM, nous pourrons vous donner un éclairage sur cette problématique.