Une personne dite « sensible ou hypersensible » peut être fortement éprouvée par le décès, la disparition, la séparation, la rupture d’un proche voire même parfois le simple départ d’un collègue de travail.
Des sentiments de colère, d’injustice, d’incompréhension, de culpabilité mais aussi d’abandon peuvent surgir et occuper le champ des pensées.
Un premier réflexe pourrait être d’en parler, d’exprimer cette douleur pour la partager avec quelqu’un de compréhensif et de suffisamment à l’écoute.
Ensuite, se dire que ce sentiment d’abandon est normal (car humain) et que tout le monde passe par cette épreuve plusieurs fois dans sa vie.
Enfin, se dire que cette fragilité en nous – qui peut se reproduire lors de situations similaires – il est possible de s’en affranchir et de la dépasser avec l’aide de thérapeutes.
Au sein d’AOM, des membres, qui ont vécu ce type d’épreuves, pourront vous éclairer utilement.
Oui avec l’aide de thérapeutes bien sûr, ou celle de Dieu. Ayant assisté ma maman jusqu’à son dernier souffle naturel, je l’ai laissée partir, sachant que sa vie exemplaire a été donnée
pour les siens et donc entrée dans la Lumière, dans la vie éternelle où un jour nous nous
reverrons sans plus de douleurs, souffrance mais dans la Paix et la Joie du Ciel. Quelle
belle espérance !
J’aimeJ’aime